Extérieurement,
les seules différences flagrantes par rapport à son petit frère sont
les prises casque et les commandes de tonalités préréglées. Je le branche sur les enceintes suicides, le son sort presque correctement mais toute action sur les boutons du bas à droite provoque un énorme et dangereux clong dans les boomers. | ||
Ci-contre, sous quelques dizaines d'années de poussières se trouvent quatre transistors de puissance par canal. Pour les généralités sur le démontage, voir le dossier du SV40. | ||
Optimisation maximale dans l'intégration des divers blocs. | ||
La section alimentation: carte régulation, transfo et pont de diodes. | ||
Tous les chimiques sont à changer. | ||
Les jaunes, les bleus, les roses, les tantales... tout doit disparaitre. | ||
Il y avait une erreur au niveau des valeurs des condos C219 et C220 (100µ & 25µ) sensés être identiques d'après le schéma. Je suis même étonné que le 100µ 25V ait supporté si longtemps sans broncher une tension deux fois supérieure à son max. | ||
C'est reparti pour 30 ans. | ||
La carte drivers remise à neuf. | ||
Ils arrivaient au bout du rouleau, de l'époque ou les valeurs n'étaient pas encores aux normes actuelles. | ||
Un p'tit coup de graisse thermique sous et sur les feuilles de mica. | ||
Graissage terminé, faut ensuite contrôler que les mouvements des transistors n'aient pas mis leurs pattes en contact avec le dissipateur. | ||
Mesure des deux gros 15000µF de l'alim. | ||
Voici la source des énorme clongs du départ; problème résolu en injectant à plusieurs reprises du F2 horizontalement par l'arrière. | ||
Test en chauffe sur enceintes bas de gamme Elipson 5050. Notez que la rénovation d'un tel ampli, indispensable vu la tête des chimiques d'origine, nécessite plus de 5h de boulot. |