Une bonne répartition des éléments, un transfo blindé par le dissipateur des transistors de puissance. Malgré sa faible épaisseur l'engin débite jusqu'à 2x40W sous 8 ohms. La petite taille des condensateurs de filtrage ne présage rien d'extraordinaire :-( | ||
Synoptique. | ||
Le dessous. Cet ampli est quasi-fonctionnel et ne nécessite qu'une simple révision de routine. | ||
Gros plan sur les transistors de puissance. | ||
Premier truc louche: un dépôt de vieille colle. Cela peut masquer une fuite de condo, donc dessoudages et vérifications impératifs. | ||
Il y a eut de la réparation à la Mc Gyver, version apprenti. | ||
Changement des fusibles et mise sous tension; rien ne pète. | ||
La classique ampoule grillée. | ||
Mesure de tension avant remplacement par une LED. | ||
LED blanche + 330ohms. | ||
Un coup de pistolet à colle pour isoler l'ensemble. | ||
Les éléments HS. | ||
Fidèle à sa réputation, Luxman utilise comme dans la plupart de ses amplis du styroflex dans la partie phono. | ||
Test sur enceintes suicides, nettoyage de façade à la bombe d'Isclean et bombage des potentiomètres au F2. | ||
L'arrière et ses connecteurs. Un commutateur de HP permettant de gérer individuellement les deux paires d'enceintes aurait été le bienvenu. | ||
Un look moderne dénué de tout superflux, un ampli hélas également dénué de qualités audiophiles. Seul un vendeur pro voulant liquider sa marchandise dira qu'il est bon puisqu'en réalité ça manque cruellement de profondeur et d'aigus, le L111A est en définitive tout juste bon à sonoriser un garage ou une cabane de jardin. |