L'intérieur, propre et aéré, simple et efficace. | ||
Le dessous. | ||
Le transfo comporte un premier blindage entouré d'un second
constitué du dissipateur des transistors de puissance. A gauche, le pont de diodes et les fusibles. |
||
Le potentiomètre rectiligne de la balance et les commutateurs HP. | ||
Le potard de volume et le commutateur de loudness. | ||
L'astucieux système de renvoi coudé des boutons low filter et mono. | ||
La section amplification de puissance. C'est à cet endroit que j'ai trouvé les chimiques les plus malades. |
||
Les parties préampli, filtrages et commutations. | ||
Lors du démontage de la façade il ne faut pas oublier d'enlever cette fragile petite vis située sur le rotacteur de source sous peine de détérioration du plastique dans lequel elle est vissée. | ||
Le métal règne :-) | ||
Recollage des guides blancs en téflon à la cyano. | ||
Chimiques,
vous êtes les maillons faibles! Les cinq du haut commençaient à couler sans que cela ne se voit avant dessoudage... Chez marantz il semble que seuls les condos oranges résistent au temps. | ||
Une vue de l'arrière. | ||
Réglages faciles (seulement deux ajustables) puis déverminage sur les boses de test. | ||
Ce
spécimen est la version XXL rackable en châssis, d'où sa largeur
démesurée. Attention, cet ampli n'est pas du tout dans les amplis mythiques de la marque et mieux vaut lui préférer un 1060 ! |