MARANTZ 2230

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		Voici la bête lors de son arrivée à la maison, entourée d'un boitier en bois qui, malgré sa couleur blanche, est d'origine. La mise sous tension et le test sur casque révèlent quelques classiques:  grésillements, mauvais contacts et ampoules grillées.
		Une seconde entrée magnéto n'aurait pas été un luxe.
		Poussière et vieux chimiques hors de ce boitier bientôt seront!
		Le dessous montre un câblage des plus sérieux, c'est très propre avec de beaux blindages.
		Les rotacteurs multicircuits auront droit à une séance de thalasso à coups de douches de F2.
		La carte alimentation avec ses nouveaux condos. En bas, les fusibles.
		Le pont de diodes. J'avais songé à le remplacer par un modèle plus balaise associé à des capas plus grandes mais l'oscillo ne montrant pas d'ondulation résiduelle conséquente ce petit monde restera en place.
		Encore luisant de F2. Quand on voit cette multitude de gaines isolantes et la qualité des torons, on comprend le pourquoi du prix élevé qu'avait cet appareil dans les années 70.
		Dépouillage de la façade.
		Les ampoules grillées seront remplacées par celles que j'ai piquées sur un pioneer SX636 qui me sert de stock. Toutes les ampoules longues aux culots en extrémités ont été changées. Parmi les autres, seules la seconde des sources (photo ci-contre) et celle de l'aiguille du tuner le seront.
		Il me manquait une ampoule, problème solutionné à l'aide de LED pas laides. Premier test avec des LED jaunes. Je brise le tube en verre pour ne conserver que les culots puis soude entre ces deux bornes mes trois LED en série. Le 8V alternatif est redressé puis vaguement filtré par les quelques composants sur le petit bout de plaque d'essais. En jaune ce n'est pas terrible...
		Suite des tests avec des LED blanches. Ce coup-ci ça le fait bien.
		Les LED prennent place à l'arrière du vu-mètre et le circuit est fixé par une vis. A l'utilisation il s'avère que cela donne une directivité trop grande. Il faudra qu'un jour j'intercale un bout de papier cuisson entre les LED et le plexi pour donner un effet diffusant.
		Comme d'hab, changement des presque tous les chimiques et application d'une couche neuve de graisse thermique sous les transistors de puissance.
		Il est bien plus beau sans son coffret en bois.
		Autant de plaisir à le regarder qu'à l'écouter.
		Pas une rayure et une sérigraphie nickel.
		Dans cette configuration nous avons les sources qui arrivent sur le préampli du 2230 pour repartir ensuite dans l'égaliseur Yamaha qui les dispatche en frontal vers l'ampli Bowei associé aux Cabasses et en arrière vers l'ampli du 2230 associé à des Boses.

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L'une des références en ampli-tuner de la marque

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Liens
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