Ma première platine disque, achetée d'occasion 500F en 1982. | ||
Elle possède les modes automatique, manuel et repeat. | ||
Sous le plateau, en haut à gauche, la poulie du moteur. | ||
Cette vue de dessous laisse entrevoir
l'ingénieux mécanisme de commande du bras. En bas: le moteur et le circuit d'alim + antiparasitage. En haut: le transfo et le circuit de gestion des vitesses de rotation avec son transistor de puissance déporté. Je change la courroie, les chimiques et passe aux réglages. |
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Après le sempiternel changement de condos l'affinage du réglage des vitesses est nécessaire. Pour le mettre en pratique il faut décaler la platine vers l'avant pour accéder aux ajustables pendant que le vinyl tourne. | ||
Gros plan sur les ajustables concernant les 33 et 45T; je ne
sais
pas pourquoi mais je pense qu'il est impossible de se tromper ;-) J'ai ensuite écouté quelques disques, tout est maintenant OK. | ||
Le lendemain, en rentrant du boulot, une odeur étrange embaumait l'appartement, un peu semblable à celle d'une cafetière laissée trop longtemps en marche... Ce condensateur au goudron (visible sur la carte alim 3 photos plus haut) commençait à cuire. | ||
Quand
ça craque et ça noircit c'est vraiment pas bon signe... N'ayant pas cette valeur sous la main, je décide de ne pas le remettre et voir ce que ça donne. Et bien finalement, on peut s'en passer ! pas de klong dans les enceintes et toutes les tensions sont bonnes, donc exit le générateur de café brulé ! | ||
La cellule technics en action. | ||
Les réglages du bras. | ||
C'est-y pas beau tout ça ? Elle sera associée à un ampli-tuner Marantz 2230. |